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Les ennemis de mes ennemis sont mes amis… même si eux aussi sont parfois mes ennemis. Telle pourrait être aujourd’hui la devise d’Orange, qui « acterait » de la montée en puissance de Free et du rachat de SFR en se rapprochant ostensiblement de Bouygues. C’est aussi l’occasion pour le premier opérateur français de reprendre l’initiative après une succession de mouvements dans le secteur initiés par ses adversaires. Le conseil d’administration du groupe se réunit dans la journée, et selon toute vraisemblance, il devrait beaucoup y être question de la recomposition des cartes du secteur mobile après le rachat de SFR par Numericable. « Il sera difficile pour Bouygues Telecom de partager son réseau avec SFR comme prévu. Alors qu’Orange est prêt à discuter avec eux », aurait même déclaré un proche de Stéphane Richard, PDG d’Orange.
En fait, Orange fait surtout preuve ici d’un bel opportunisme : Bouygues et SFR sont en effet liés par un accord de mutualisation qui pourrait bien prendre du plomb dans l’aile après le rachat, une situation qui ouvre des perspectives nouvelles pour Orange qui ne se trouve plus, d’un coup d’un seul, celui contre qui il faut se liguer. Si Orange parvenait à signer un nouvel accord avec Bouygues, ce serait pas moins de 50% des antennes mobiles qui passeraient sous la coupe de ce duo de circonstance. C’est dire si la perspective doit motiver l’opérateur historique, d’autant plus qu’un accord avec Bouygues serait sans doute un bon moyen de ralentir la progression constante de Free…
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