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L’Europe est sans aucun doute la région du monde où les lois et cadres réglementaires sont les plus avancés en terme de protection de la vie privée « numérique » (notamment avec le RGPD). L’UE a aussi récemment musclé son jeu contre les cyberattaques et la désinformation en ligne, et c’est finalement sans surprise que l’on apprend que la Commission européenne souhaite lutter contre le phénomène des deepfakes, ces vidéos manipulées à grands coups d’IA dans lesquelles on fait dire à une personnalité ce qu’elle n’a jamais dit, ou qu’on lui prête des actes qu’elle n’a pas commis (il « suffit » de remplacer un visage par un autre dans une vidéo).
La Commission va donc amender le code de bonne pratique en ligne établi en 2018 afin d’y rajouter une clause de co-régulation et de co-responsabilité ^pour les signataires. A cette occasion, les deepfakes intègrent la liste des manipulations numériques contres lesquelles les gérants des plateformes seront aussi tenu de sévir. Dès l’entrée en vigueur du Digital Services Act (DSA) en 2023, Twitter, Meta et toutes les plateformes de réseaux sociaux disposant de plus de 45 millions d’utilisateurs seront tenues de limiter l’apparition de deepfakes sur leurs services sous peine de grosses amendes pouvant aller jusqu’à 6% du chiffre d’affaires. Tout de même…
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