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Il s’est longtemps laissé dire qu’il aura suffit d’un jeu pour vraiment tuer toute concurrence à Sony à l’époque de la PlayStation One, un jeu exclusif à la console du géant japonais, un jeu qui s’apellait Final Fantasy VII. Ce lien étroit entre l’éditeur de jeux de rôle et le fabricant de produits électroniques durera plusieurs années, d’exclusivités totales en semi-exclusivités avec les premiers FF multi-joueurs jouables aussi sur PC.

Les premiers changements dans ce partenariat étroit commencèrent au moment où Square Enix commença à piquer économiquement du nez. Les mauvais résultats, l’essouflement des ventes sur des licences phares conduisirent alors l’éditeur à plus de pragmatisme; c’est l’époque des adaptations mobiles, du premier FF sur une console concurrente à celle de Sony. C’est donc peu dire que la décision prise hier par le staff dirigeant de Sony sonne un peu comme le glas d’une époque dorée. Avec la revente officielle de ses parts dans Square Enix, Sony signifie clairement qu’il laisse le studio de jeu légendaire à sa pleine et entière indépendance.
Ironiquement, au moment de l’annonce de la revente des parts, c’est bien Square Enix qui affiche un meilleur bilan que son ancien partenaire, affichant des comptes positifs au moment où le géant de l’électronique se bat pour revenir dans le vert. Sony ne revend pas les parts de Square parce que celui-ci serait devenu un poids mort mais bien parce qu’il souhaite au plus vite obtenir des liquidités supplémentaires.
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