TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Google a écopé d’une amende de 1,1 million d’euros au sujet du classement des hôtels sur son moteur de recherche. Les sociétés qui écoperont de l’amende sont Google Irlande et Google France, comme l’indique la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).
Le classement proposé par Google sur les hôtels pouvait être trompeur pour le consommateur, selon le ministère de l’Économie et la répression des fraudes, d’où l’amende de 1,1 million d’euros. Ce classement a mené à une enquête en 2019 et 2020 à la suite de plaintes d’hôteliers.
Les classements de plus de 7 500 établissements ont été comparés, sur un nombre conséquent de cas, au seul classement officiel existant en France et délivré par Atout France, allant de une à cinq étoiles. Il est apparu que Google avait substitué au classement Atout France une classification établie selon ses propres critères. Cela prêtait grandement à confusion par sa présentation et par l’utilisation identique du terme étoiles pour classer les hébergements touristiques.
Cette pratique portait également préjudice aux hôteliers dont les établissements étaient présentés à tort comme moins bien classés que dans le classement officiel d’Atout France, dit la répression des fraudes.
Google a donc accepté de payer une amende de 1,1 million d’euros pour le classement des hôtels. De plus, il utilise le classement officiel délivré par Atout France, et ce depuis septembre 2019.
Ce n’est vraiment pas une surprise : le site du smartphone Trump T1 ne porte plus aucune mention « Made in the USA »…...
Il y a de quoi être surpris : Amazon MGM Studios vient d’annoncer que Denis Villeneuve (Dune, Premier Contact) réalisera le prochain...
Meta vient de marquer un point dans la bataille pour recruter les meilleurs talents en intelligence artificielle en débauchant trois chercheurs de...
Après quelques pays, Disney+ s’attaque au partage de compte en France et lance l’option « Abonné...
La Brigade de lutte contre la cybercriminalité (BL2C) a interpellé cinq jeunes Français, administrateurs présumés de...