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L’information avait été soigneusement cachée depuis plusieurs années. Google vient de confirmer qu’en 2017, une attaque DDoS d’une ampleur et d’une durée inédites a directement visé ses serveurs. L’attaque a duré 6 mois, et à son pic, le trafic est monté jusqu’à à 2,5 To/s ! Malgré la violence de l’attaque, les serveurs de Google sont parvenus à tenir la charge. Damian Menscher, l’un des chercheurs en sécurité de Google, confirme l’échec de l’attaque DDoS la plus massive de l’histoire de l’informatique : « Bien que ciblant simultanément des milliers de nos adresses IP, vraisemblablement dans l’espoir de passer outre notre système de défense automatisé, l’attaque n’a eu aucun impact. »
Cette attaque DDoS serait 4 fois plus massive que l’attaque du botnet Mirai en 2016 (jusqu’à 623 Go/s), mais l’on peut constater que les pirates semblent désormais avoir un gros train de retard sur les capacités de protection des plus grosses fermes de serveurs de la planète. Ainsi, la dernière attaque DDoS d’ampleur (2,3 To/s), qui visait cette fois la plateforme AWS d’Amazon, n’a pas eu plus de réussite. Rappelons que les attaques DDoS (par déni de service) ont pour principal objectif de faire « tomber » les serveurs cibles en les bombardant d’un énorme flux de données. Les moyens nécessaires au lancement d’attaques DDoS d’ampleur laissent supposer que ces attaques sont le fait, non pas de groupes de hackers isolés, mais de gouvernements ou de services de renseignements.
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