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Une fois n’est pas coutume, le Royaume-Uni refusera donc de plier face aux pressions américaines. Le gouvernement de Boris Johnson a en effet accepté que le géant chinois Huawei puisse accéder au marché britannique de la 5G, le Conseil de sécurité national ayant estimé qu’il n’y avait pas de risque d’espionnage avéré. Malgré tout, prudence est mère de vertu, et Huawei sera obligé de laisser un peu de place à ses concurrents : l’équipementier asiatique devra ainsi se contenter d’une part de marché de 35% au maximum tandis que les 65% « restants » iront en (très) grande partie dans l’escarcelle de Nokia et Ericsson, seuls groupes européens capables de fournir des infrastructure 5G fiables et pérennes.
La seconde contrainte montre que tous les doutes n’ont pas encore été levés concernant la « probité » de Huawei : aucuns des équipements du fabricant ne pourront en effet être utilisés pour la conception des parties les plus sensibles du réseau, à l’instar des gros serveurs de gestion de données. En d’autres termes, Huawei se voit contraint d’en rester… à la vente d’antennes relais ! Malgré ces grosses limitations commerciales, il semble peu probable que Washington se réjouisse de ces demi-mesures, d’autant plus que la relative tiédeur britannique pourrait donner des idées à certains voisins européens qui hésitent encore sur la marche à suivre (à l’instar de la France).
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