TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Une fois n’est pas coutume, le Royaume-Uni refusera donc de plier face aux pressions américaines. Le gouvernement de Boris Johnson a en effet accepté que le géant chinois Huawei puisse accéder au marché britannique de la 5G, le Conseil de sécurité national ayant estimé qu’il n’y avait pas de risque d’espionnage avéré. Malgré tout, prudence est mère de vertu, et Huawei sera obligé de laisser un peu de place à ses concurrents : l’équipementier asiatique devra ainsi se contenter d’une part de marché de 35% au maximum tandis que les 65% « restants » iront en (très) grande partie dans l’escarcelle de Nokia et Ericsson, seuls groupes européens capables de fournir des infrastructure 5G fiables et pérennes.
La seconde contrainte montre que tous les doutes n’ont pas encore été levés concernant la « probité » de Huawei : aucuns des équipements du fabricant ne pourront en effet être utilisés pour la conception des parties les plus sensibles du réseau, à l’instar des gros serveurs de gestion de données. En d’autres termes, Huawei se voit contraint d’en rester… à la vente d’antennes relais ! Malgré ces grosses limitations commerciales, il semble peu probable que Washington se réjouisse de ces demi-mesures, d’autant plus que la relative tiédeur britannique pourrait donner des idées à certains voisins européens qui hésitent encore sur la marche à suivre (à l’instar de la France).
Impossible de rater l’info : l’Ukraine a lancé une attaque surprise de drones longue portée contre la Russie, une mission...
Stig Asmussen, à qui l’on doit God of War III ainsi que les jeux Star Wars Jedi: Survivor et Fallen Order, planche actuellement sur un jeu...
IBM vient de faire l’acquisition de Seek AI, une start-up basée à New York qui permet aux utilisateurs d’accéder et...
Parallèlement à son procès antitrust fleuve face au DoJ, Alphabet la maison mère de Google, devait aussi se...
Microsoft dévoile une nouveauté avec Bing Video Creator, un outil gratuit permettant de générer des vidéos à...