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La surveillance de l’activité sismique de la planète est un point capital, pour les scientifiques qui souhaitent en apprendre plus sur son fonctionnement comme pour les autorités qui souhaiteraient prendre des mesures de sécurité. Mais la tâche requiert un équipement bien précis, ce qui peut très vite devenir compliqué, par exemple lorsqu’on souhaite recueillir des données dans l’océan (soit environ deux tiers du globes insondables). C’est là que des chercheurs de Berkeley ont eu l’idée du siècle : utiliser l’infrastructure sous-marine de fibre optique en tant que sismographe, créant ainsi un réseau incroyable d’appareils de mesures, ce qui permet une image globale de l’activité sismique jamais égalée auparavant.

Ces câbles, privés, publics, pour internet ou autre chose, ont en effet un point commun : ils utilisent pour fonctionner de la lumière. Lumière qui est amenée à changée si jamais le câble est déplacé ou change de sens. Et grâce à ce changement, les chercheurs peuvent estimer, parfois au nanomètre près, comment les câbles se sont déplacés, et donc retracer l’origine de toute activité sismique avec précision. La technique, baptisée Distributed Acoustic Sensing, est détaillée dans la publication sortie pour l’occasion dans le Science Journal, et pourrait changer la donne considérablement pour les chercheurs du domaine.
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