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Plus tôt dans la semaine, Dimitrios Vistakis, chef de la cyber-sécurité de la Maison Blanche, a quitté son poste avec perte et fracas, accusant les personnes au pouvoir et les changements apportés d’une conduite au mieux inconsciente, au pire extrêmement dangereuse pour le pays. Un extrait du mémo envoyé à son administration et obtenu par Axios, est effectivement très clair : « On dit que l’Histoire se répète. Malheureusement, avec tous les changements que j’ai vus ces trois derniers mois, je vois une Maison Blanche qui se met elle-même en position compromise vis-à vis de la sécurité électronique. Permettre à une grande partie des connaissances institutionnelles d’aller rejoindre la concurrence semble contraire aux intérêts de la mission et de l’organisation. »

D’après lui, toute l’administration du nouveau gouvernement passe l’essentiel de son temps et de ses efforts à défaire les progrès effectués pendant l’ère Obama, le tout pour permettre au président actuel de conserver un certain niveau de confort sans inconvénient, plutôt que de prioriser de véritables mesures et avancées en matière de sécurité. Et l’inquiétude est de rigueur : en plus de son bureau, nombreux sont les services orientés vers la science, la sécurité et les nouvelles technologies qui voient leurs moyens considérablement réduits (parfois jusqu’à la fermeture pure et dure) par le gouvernement Trump.
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