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Les exoplanètes font rêver tous les scientifiques et exobiologistes convaincus de l’existence d’une vie extra-terrestre aux confins de l’univers. Mais pour Michel Mayor, Prix Nobel de Physique 2019 et découvreur de la toute première exoplanète avec son collègue Didier Queloz, la question d’une vie intelligente – au delà donc des limites de notre système solaire – ne sera jamais tranchée.
La raison de cet avis définitif est plutôt simple : l’homme ne pourra pas se rendre sur place pour vérifier si la vie s’y trouve, ni aujourd’hui, ni demain. « Ces planètes sont bien trop éloignées de la nôtre » explique le nouveau Prix Nobel, qui estime à la louche qu’il faudrait des centaines de milliers d’années pour se rendre vers l’étoile la plus proche, si tant est que cette dernière abrite une quelconque forme de vie.
Cette déclaration vise aussi à clore les fantasmes de type « Interstellar ». En effet, dans le film de Christopher Nolan, une humanité à la dérive se sert d’un trou de ver tout proche pour tenter de découvrir de nouvelles planètes habitables : « je me devais d’infirmer les déclarations telles que « si la vie n’est plus possible sur Terre, nous n’aurons qu’à aller vivre ailleurs » » affirme lucidement Michel Major. Pour le scientifique chercheur d’exoplanètes, la planète habitable est juste devant nos yeux, sous nos pieds, et il conviendrait « juste » de savoir un peu mieux la préserver. A bon entendeur…
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C’est même nettement plus qu’une nuance puisque ce sont deux objets de la relativité complément distincts, aux propriétés très différentes.
Le pont d’Einstein-Rosen (le trou de verre comme on l’entend) ne présuppose pas l’effondrement d’une étoile et la singularité gravitationnelle en son centre.
En gros : on sait que les trous noirs existent, on suppose que l’information aspirée ressort par un trou blanc. Et le trou de verre est une théorie encore jamais vérifiée expérimentalement.
D’ailleurs mon beauf en appart cultive des « Vers » qui font des trous (composte )