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Broadcom, notamment connu pour ses puces Wi-Fi, était bien parti pour racheter Symantec, cet éditeur de cybersécurité qui propose l’antivirus Norton. Mais le projet est finalement tombé à l’eau.

Selon Bloomberg, les deux sociétés étaient proches d’un accord, mais les discussions ont finalement ont été stoppées parce que Broadcom voulait baisser le prix total du rachat. Broadcom et Symantec étaient d’abord d’accord sur un rachat de chaque action pour 28,25 dollars, puis la société de puces Wi-Fi voulait finalement payer 1,50 dollar de moins. Symantec a refusé, d’où l’abandon des discussions de rachat.
Si le rachat avait été fait pour 28,25 dollars par action, la somme totale aurait été de 17,5 milliards de dollars environ. Il s’agit d’un montant colossal et un tel rachat n’est pas courant dans le milieu des entreprises technologiques.
Cela montre en tout cas que Broadcom cherche toujours à se renforcer dans les logiciels. Le groupe a racheté l’an dernier l’éditeur américain de logiciels CA pour 18,9 milliards de dollars, quelques mois après l’échec de son offre hostile sur son concurrent Qualcomm.
Les marchés ont réagi suite à l’abandon des discussions et Symantec a le plus souffert. L’éditeur de l’antivirus Norton a perdu 13,29% à la Bourse pour être à 22,18 dollars à l’heure où cet article est publié. À l’inverse, Broadcom a pris 1,48% à 289,60 dollars.
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