TENDANCES
Comparateur
- AUTO
La proposition de loi « anti-Huawei » adoptée en première lecture au Sénat continue de faire des remous; les 4 principaux opérateurs français (Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free) ont ainsi co-signé une lettre destinée à l’ARCEP, une lettre qui est avant tout un feu nourri contre certains des critères désormais requis pour les futurs équipements 5G.

Les opérateurs s’opposent ainsi sans ambages aux nombreuses autorisations administratives nécessaires pour obtenir l’aval des commandes d’infrastructures réseau en 5G. Un point surtout fait débat : chaque commande de matériel ou équipement 5G devra recevoir l’aval gouvernemental, le temps que les services idoines puissent constater que le matériel en question ne constitue pas un danger pour la sécurité nationale. Pour les opérateurs, cette contrainte n’est pas acceptable, car dans le cas d’un refus d’autorisation, ces derniers resteraient comptables des retards engendrés, avec en sus des sanctions financières à la clef.
Ces critiques semblent en grande partie recevables, mais donnent aussi la désagréable impression qu’entre les perspectives juteuses du marché 5G et la sécurité nationale, les opérateurs ont choisi la voie du retour sur investissement, sans considération des risques potentiels d’espionnage ou de cyberattaque d’une grande puissance économique. Fâcheux.
L’Agence nationale des fréquences (ANFR) a mis en ligne les données en ce qui concerne le déploiement de la 4G et de la 5G par...
Chaque jour nous dénichons pour vous des promos sur les produits High-Tech pour vous faire économiser le plus d’argent possible. Voici...
Le suédois Teenage Engineering, à qui l’on doit le formidable design de la petite console PlayDate, lance aujourd’hui le nouveau...
Après avoir dévoilé ses derniers résultats financiers, Nintendo confirme un succès pour la Switch 2 et annonce un...
Le retour sur Terre de la capsule spatiale chinoise Shenzhou-20, initialement fixée au 5 novembre, a été repoussée en raison...
4 commentaires pour cet article :