TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Quand la Freebox Delta a été annoncée en décembre, Xavier Niel a assuré que le débit de 10 Gb/s était disponible chez tous les abonnés ayant accès à la fibre optique. Il se trouve que ce n’est pas tout à fait le cas puisque plusieurs personnes plafonnent à 1 Gb/s.

Le problème ne vient pas de l’ordinateur utilisé ou de la carte réseau incluse dedans, mais bel et bien de Free. Tout est lié à l’infrastructure du réseau de Free. L’opérateur s’est reposé sur la technologie P2P (point à point) quand il a commencé à déployer sa fibre il y a quelques années maintenant et ce sont justement les abonnés qui se reposent sur une infrastructure P2P qui n’atteignent pas les 10 Gb/s et restent à 1 Gb/s au maximum. En revanche, ceux qui sont sur l’infrastructure 10G-EPON ne sont pas concernés et peuvent profiter du débit maximum promis par Free (s’ils ont les équipements adaptés pour).
01net rapporte que les clients concernés par ce « bridage » sont notamment ceux situés à Paris, Montpellier et Lyon, qui font partie des premières villes fibrées par Free. Ils ne sont pas beaucoup à se plaindre pour la simple et bonne raison que tout le monde n’est pas équipé pour gérer 10 Gb/s. Mais les semaines passent et quelques témoignages commencent à tomber.
Free peut-il corriger le tir ? Oui, mais ça demanderait du temps et de l’investissement. L’opérateur devrait poser de nouveaux équipements sur les NRO (nœud de raccordement optique) concernés. De plus, il faudrait changer le module fibre des abonnés P2P puisque celui-ci est limité à 1 Gb/s et non 10 Gb/s.
La génération d’objets 3D à partir de simples images 2D connaît une accélération spectaculaire. Alors que...
Le secteur de la robotique humanoïde chinoise connaît un essor fulgurant depuis un an, porté par un puissant soutien public et un...
Google a annoncé le retrait de sa plainte antitrust déposée l’an dernier auprès de la Commission européenne...
Tim Sweeney, le patron d’Epic Games, monte au créneau contre l’étiquetage systématique de l’intelligence...
Nous écrivons, codons et échangeons plus que jamais sur des postes multiples : ordinateur de bureau, portable, tablette. À...
3 commentaires pour cet article :