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Cela fait plusieurs années maintenant que Google n’est pas présent en Chine. Ses différents services (recherche, YouTube, Gmail, etc) sont bloqués sur place parce que le géant américain refuse de se soumettre à la censure. Mais pour Sundar Pichai, il est « important d’explorer » le pays.

Le patron de Google s’est exprimé à ce sujet dans le cadre d’une conférence organisée par Wired à San Francisco. Il explique « réfléchir très sérieusement » à la Chine, en dépit des critiques sur une potentielle complicité de Google avec la censure d’État en Chine. « Nous prenons toujours en compte un ensemble de valeurs », a-t-il expliqué, ajoutant que « nous devons également suivre la loi qui s’applique dans chaque pays ».
La presse a récemment dévoilé Dragonfly, un projet de Google pour revenir en Chine. Le projet est très critiqué, notamment par les employés de Google. Mais selon Sundar Pichai, il peut s’agir d’une bonne initiative. « Il s’avère que nous pourrions répondre à plus de 99% des recherches », a-t-il indiqué. Il précise qu’il y a « de très nombreux cas où nous fournirions une information de meilleure qualité que ce qui est actuellement disponible » sur les moteurs de recherche chinois.
Sundar Pichai ne dit pas où en est le projet Dragonfly à ce jour. Il souligne cependant qu’il a une vision de long terme pour la Chine et pense que ce projet « est important pour nous si l’on prend en considération la taille très importante du marché et le nombre d’utilisateurs. Nous nous sentons forcés d’y réfléchir sérieusement ».
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