TENDANCES
Comparateur
- AUTO
C’était en débat depuis le début de l’année; l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a donc tranché et considère désormais l’addiction aux jeux vidéo comme une maladie psychologique; Shekhar Saxena, directeur du département de l’OMS Santé mentale et abus de substances psychoactive, a confirmé l’information lors d’une conférence de presse qui s’est tenue à Genève le 14 juin : « Les conclusions de publications scientifiques, les besoins ainsi que les demandes de traitements dans de nombreuses régions du monde ainsi que les recommandations de notre groupe de scientifiques nous ont poussés à accepter que les troubles liés au ‘gaming’ soient ajoutés à la classification internationale des maladies (CIM-11). Laissez-moi vous rappeler que les addictions liées aux paris font déjà parties de la CIM-10. Les troubles causés par l’addiction au jeux vidéo ont été ajoutés. »

Ces dernières années, de nombreuses études avaient révélé le caractère très addictif du comportement de nombreux joueurs (notamment sur mobile et suite à la vague des jeux freemiums). La nouvelle classification de l’OMS pourrait aboutir à des critères de développement plus contraignants pour tous les studios qui mettent en avant des principes de gameplay « addictif » proche de celui des machines à sous de casinos.
Google s’apprête à lever une restriction historique au niveau de Gmail pour permettre aux utilisateurs de changer leur adresse...
L’Autorité italienne de la concurrence (AGCM) a ordonné à Meta de geler sa politique interdisant aux entreprises...
La cyberattaque qui cible La Poste depuis lundi montre ses premiers signes d’essoufflement ce mercredi. Bien que l’offensive soit toujours...
L’administration Trump a annoncé des sanctions ciblant cinq figures majeures de la régulation technologique en Europe, dont...
– A coups d’électrochocs, comme pour les homosexuels du siècle dernier ?
– En transformant le « patient » en zombi à coup de cachetons ?
– En lui confisquant son smartphone et sa console avec un petit sermon ?
Et quid de l’addiction au sucre ? Un peu trop de monde à soigner peut-être ? Ou bien trop de fric en jeu ?