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Rovio traverse l’une des périodes les plus compliquées de son existence. La jeune startup finlandaise devenue très vite (trop vite ?) un géant du jeu mobile, n’est pas parvenue à diversifier ses activités dans un contexte où sa licence fétiche (Angry Birds) s’est considérablement essoufflée. Après le premier avertissement sur résultats de sa courte histoire, la grêle semble s’être abattue sur le studio de développement; c’est d’abord le cours de l’action Rovio qui a perdu des plumes en s’effondrant de plus de 50% de sa valeur initiale depuis l’avertissement financier (de 11 euros l’action à un peu plus de 4 euros aujourd’hui). La chute anticipée de 40% des profits de la branche « gestion de licences » (film, goodies, produits dérivés, etc…) a eu raison de la patience des investisseurs.

Et les soucis s’accumulent : on apprend aujourd’hui le départ du vice-président de Rovio,Wilhelm Taht; ce dernier était aussi le patron de la branche « jeux-vidéo » du groupe. La démission de Taht n’était pas anticipée, d’autant plus que l’intéressé quitte son poste avec effet immédiat et sans donner aucune raison justificative. C’est la patronne exécutive de Rovio, Kati Levoranta, qui occupe désormais le poste de Vice -Président. Malgré ces remous, la CEO de Rovio continue de croire dans la bonne santé du groupe…à long terme : « Nos fondamentaux se portent bien, et sont tournés vers l’avant » affirme Kati Levoranta…juste après avoir annoncé la fermeture du studio de développement Rovio basé en Angleterre…
SOURCEreuters
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