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Le jeu vidéo peut être source de plaisir mais comme tous les loisirs, il faut savoir raison garder si l’on ne veut pas que le temps de jeu se transforme en une forme d’addiction pure et simple. L’OMS est d’ailleurs d’accord avec ce constat, au point de publier un document de travail qui place le jeu vidéo dans une sous-liste d’addictions, au même titre que l’alcool ou la pratique des jeux de casino.

Ce document n’a pas valeur de classification officielle des addictions, mais le jeu vidéo pourrait bel et bien intégrer la 11ème classification internationale des maladies. Mais comment sait-on que la passion du jeu vidéo est en train de « mal tourner » ? L’OMS liste quelques signes inquiétants :

Certains spécialistes avertissent toutefois qu’il ne faut pas confondre la passion du jeu vidéo et l’addiction proprement dite, la frontière étant parfois relativement mince entre les deux. A noter que certains pays ont déjà pris des mesures légales afin de contrecarrer les effets de l’addiction, comme la Corée du sud ou la Chine, deux pays il est vrai caractérisés par un grand nombre d’e-Gamers et par une très large communauté de joueurs en ligne.
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