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Des systèmes de reconnaissance faciale, que ce soit dans des services gouvernementaux ou privés, c’est rarement rassurant à 100%. Les plus paranoïaques avancent un monde à la Orwell, tandis que la grande majorité des autres méfiants s’inquiète plutôt de ce qui est fait de ces données recueillies, et surtout de qui va y avoir accès, comment vont-elles être partagées. C’est ce que l’Australie est en train de découvrir, d’après des découvertes de The Guardian. Le gouvernement serait en effet en train de dialoguer avec divers partenaires dans les banques et les services de télécommunications pour mettre en place en 2018 une session de test privée du Facial Verification Service.

Les sociétés auraient besoin de demander l’autorisation des utilisateurs, et devraient bien entendu prouver qu’elles respectent l’Australia’s Privacy Act, qui définit les mesures de base à prendre pour protéger la vie privée des citoyens. En partant de là, elles pourraient utiliser ces données pour combattre les arnaques, ou vérifier les identités des consommateurs. Le futur de cette idée dépendra principalement de la façon dont ces entreprises s’en servent : est-ce que les données seront vraiment en sécurité? Finiront-elles revendues? Est-ce qu’on expliquera aux consommateurs ce qui leur arrive précisément? Et, pire encore, ces derniers seront-ils obligés d’accepter ces mesures pour avoir accès à tous les services?
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