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La sécurité est parfois pointée du doigt du côté d’Android. C’est à nouveau le cas cette semaine avec une révélation faite par Check Point Software Technologies. 38 smartphones/ tablettes intègrent par défaut un malware, mais les fautifs ne sont pas les constructeurs.

Selon les premières constatations, le malware a été injecté dans une des étapes du circuit de distribution du produit. Des privilèges système ont été acquis et utilisés pour mettre en place les malwares. À cause de ces privilèges, les utilisateurs ne peuvent pas supprimer d’eux-mêmes les malwares — sauf s’ils effacent complètement leurs smartphones et réinstallent une ROM propre.
Quels sont les malwares en question ? Un malware vole les informations présentes sur le smartphone, un autre affiche des publicités un peu partout et un autre encore est un ransomware. Ce dernier peut bloquer l’appareil et demander de l’argent à son propriétaire pour qu’il puisse y avoir à nouveau accès.
Voici une partie des appareils concernés, dont de nombreux produits de Samsung :
Les utilisateurs sous Android sont invités à faire des vérifications de temps en temps au niveau de la sécurité avec des applications qui font le nécessaire. On peut citer les plus connues, à savoir Lookout, Check Point ou encore Malwarebytes.
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C’est évidemment moins vendeur mais ça explique aussi que la « nouvelle » n’est pas reprise par les sites sérieux …
2) « la « nouvelle » n’est pas reprise par les sites sérieux … ». Le site Ars Technica, qui est une référence mondiale dans le milieu high-tech, a repris l’info (parmi tant d’autres). J’imagine qu’ils apprécieront votre remarque. 😉
L’erreur de traduction (« supply chain » devenant « chaîne de montage » au lieu de « circuit de distribution ») contribue également à laisser le doute sur la maîtrise de l’anglais du rédacteur.
Comment voulez vous dire qu’il y avait « 38 smartphones et tablettes » autrement que comme cela ?
Qui a dit qu’il y avait 38 modèles. Si cela avait été 38 modèles, le mot « modèle » aurait été utilisé.
Il serait de bon ton de reconnaître cette imprécision.