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Le 12 juin dernier, la ville d’Orlando en Floride aux États-Unis a connu une tuerie qui a fait 49 morts et 53 blessés selon les chiffres communiqués officiellement. L’attaque a été réalisée par Omar Mateen et revendiquée par l’État islamique. Six mois plus tard, les réseaux sociaux et plus sont pointés du doigt.
En effet, des familles de victimes ont porté plainte contre Twitter, Google et Facebook devant la justice fédérale des États-Unis. Elles estiment que les trois groupes ont contribué à la radicalisation d’Omar Mateen. La plainte précise que les Twitter, Facebook et Google « ont fourni au groupe terroriste État islamique des comptes leur permettant de diffuser leur propagande extrémiste, de lever des fonds et d’attirer de nouvelles recrues ». Et d’ajouter « Ce soutien matériel a été essentiel dans l’essor de l’État islamique et lui a permis de mener ou de faire mener de nombreuses attaques terroristes ».
En août dernier, Twitter avait annoncé avoir suspendu pas moins de 360 000 comptes depuis la mi-2015. Ces comptes faisaient l’apologie du terrorisme. Du côté de Facebook, on explique faire le nécessaire pour supprimer tout contenu faisant la promotion du terrorisme.
Il y a peu de chance que les plaignants l’emportent ici, une loi prévoit que les sites ne sont pas responsables des contenus postés par des utilisateurs.
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