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C’est fait : la « taxe YouTube » a été votée, aussi bien par les députés que par les sénateurs. Cette taxe est controversée, à tel point que le gouvernement n’était pas pour sa mise en place. Mais le Sénat et l’Assemblée nationale en ont décidé autrement.

La taxe YouTube est le surnom donné à la loi, puisqu’elle concerne en réalité tous les sites de vidéos comme Dailymotion, Vimeo et les autres, en plus de YouTube. Mais la propriété de Google étant largement dominante sur Internet (1 milliard de visiteurs par mois), les médias ont décidé de lui attribuer ce nom.
Maintenant que la taxe YouTube est votée, que va-t-il se passer ? Cette taxe, d’un taux de 2% (ou 10% pour les contenus pornographiques), sera due par tout opérateur, quel que soit son lieu d’établissement, proposant un service en France qui donne l’accès à des œuvres cinématographiques ou audiovisuelles ou autres contenus audiovisuels. Outre les sites de vidéos, d’autres services de médias audiovisuels à la demande (comme iTunes) sont concernés.
C’est un moyen de gagner de l’argent via des services qui en génère beaucoup à ce jour sachant que la société actuelle se tourne de plus en plus vers Internet et la consommation de vidéos en ligne. Avec les publicités qui permettent de générer des revenus, les sénateurs et les députés ont vite compris qu’il fallait embrayer le pas pour récolter des sous d’une certaine manière.
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