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A quoi joue Google avec les puces et l’architecture RISC-V ? Il y a quelques mois à peine, la firme de Mountain View annonçait la prise en charge des processeurs RISC-V dans Android AOSP, la version libre d’Android. Et voilà que sans crier gare, le géant américain retire des bouts de code du noyau ACK (Android Common Kernel), des bouts des codes pourtant nécessaires à cette prise en charge.
La décision est d’autant plus surprenante que sur le papier le RISC-V a des atouts qui « collent » plutôt bien avec Android AOSP, comme l’absence de licence ou une architecture moderne que beaucoup voient comme le successeur naturel des vieillissants x86 ou ARM (dans les faits, RISC-V n’est pas tout jeune non plus…). Le retrait du code est tellement soudain que certains analystes y voient aussi la marque d’une adaptation à certaines contraintes géopolitiques : la fondation RISC-V est installée en suisse, hors de la juridiction américaine, et pourrait donc se retrouver dans du matériel chinois sans que les Etats-Unis y puissent quelque chose.
Google estime aussi, peut-être, que le RISC-V n’est pas encore assez mature pour une prise en charge dans des appareils grands publics (ces processeurs sont généralement présents dans des stations de travail voire des super-calculateurs), même si le RISC-V est une architecture ouverte sous licence libre regroupant un jeu d’instruction RISC d’implémentation 32, 64 et 128 bits qui est aussi implémenté dans des versions destinées à l’internet des objets.
SOURCEAndroid Authority
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