TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Marcus Hutchins, un chercheur en sécurité britannique qui s’est fait remarquer pour avoir stoppé la diffusion du ransomware WannaCry, a plaidé coupable cette semaine pour une autre affaire. Les États-Unis l’ont accusé de piratage.
L’homme de 24 ans est accusé d’avoir créé et fait proliférer en 2014 et 2015 un malware destiné à attaquer le système bancaire. Dans une déclaration publiée vendredi sur son site, Marcus Hutchins a indiqué avoir plaidé coupable devant la justice américaine. « Je regrette mes actions et accepte l’entière responsabilité de mes erreurs. J’ai mûri et depuis, j’ai utilisé de façon positive les mêmes compétences dont j’avais fait mauvais usage il y a plusieurs années », a-t-il écrit.
Deux mois avant son arrestation, Marcus Hutchins passait pourtant pour un héros, un jeune génie de l’informatique vivant chez ses parents qui était arrivé à stopper les progrès de WannaCry. Cette attaque avait chiffré des centaines de milliers d’ordinateurs et l’unique méthode pour retrouver l’accès à ses fichiers était de payer une rançon en bitcoin.
Son arrestation avait exposé au grand jour les activités de hackers agissant à la limite de la légalité. Il avait ensuite été remis en liberté sous caution.
C’est la semaine du Black Friday,l’avant dernière semaine du mois de novembre, qui est une période de grosses promotions pour...
Pendant la semaine du Black Friday, UGREEN, spécialiste des accessoires technologiques, propose des réductions importantes sur une large...
Les fans de Cyberpunk 2077 espéraient une mise à jour optimisée pour la PlayStation 5 Pro, la nouvelle console de Sony disponible au...
La section de lutte contre la cybercriminalité du parquet de Paris a ouvert une enquête après que des comptes Telegram de...
C’est la semaine du Black Friday,l’avant dernière semaine du mois de novembre, qui est une période de grosses promotions pour...
24 Nov. 2024 • 9:31
24 Nov. 2024 • 9:08
24 Nov. 2024 • 8:15
Lors de spora, par exemple les personnes infectés étaient directement redirigé vers le site d’enigma software, mais aucun expert en sécurité ne semble avoir percuté, ce qui est passablement risible à ce niveau de « compétence ».