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Après chaque cyber-attaque massive – le dernier malware en date, Petya, a fait de gros dégâts dans des dizaines de pays – les services informatiques des grandes entreprises tentent de resserrer les boulons afin de limiter la casse et de parer au mieux la prochaine salve. Mais toutes les sociétés ne disposent pas de services informatiques dédiés et nombre de PME se retrouvent souvent en difficulté lorsqu’il s’agit de gérer la sécurité de leur parc informatique.

Une étude de Market-Inspector dévoile l’envers du décor de la sécurité informatique en France, et le tableau n’est pas franchement brillant. Ainsi, seulement 27% des sociétés de l’hexagone s’estiment vraiment protégées contre les attaques alors même que les 3/4 des PME ont déjà subi les assaults de malware/ransomware. Pire encore, 83% des entreprises sont dans une sorte de déni et se sentent peu voire pas du tout exposées !

Pourtant, au delà des conséquences juridiques ou en terme d’image (les clients/salariés peuvent très vite se retourner contre l’entreprise qui n’a pas su protéger suffisamment leurs données), le principal danger des cyberattaques reste avant tout financier : Market-Inspector estime que le « coût » d’une attaque pour une seule PME avoisine les 242 000 euros, une somme forcément hors norme pour un grand nombre de petites structures. Autant dire qu’il existe un intérêt objectif à verrouiller son système informatique avant que les gros pépins n’arrivent (et ce même si la planification financière de cette sécurisation est parfois dure à « arbitrer »).
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ils rechignent a mettre en place une strategie de securite car « on a pas le temps ca coute cher » et font moins les fiers quand les problemes arrivent et que les employes sont au chomage technique.