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On ne joue plus; (très) mauvaise blague d’origine américaine qui consiste à faire croire à une brigade du SWAT (en France le GIPN) qu’un crime est en cours chez individu (alors que bien sûr le dit individu est en train de jouer tranquillement à un jeu en réseau), le swatting a malheureusement pris racine en France, une racine que la justice souhaite arracher au plus vite. Le 10 février 2015, le joueur Bibix avait été arrêté et menotté devant des milliers de spectateurs du service Twitch, victime d’un swatting qui avait eu pour conséquence de mettre sa femme en état de choc pendant plusieurs jours.
Le joueur Bibix levant les mains face aux policiers du GIPN
Après plusieurs mois d’enquête, la police a mis la main sur les trois individus responsables de cette très triste affaire. Le canular est l’oeuvre d’un homme de 22 ans qui s’était déjà rendu coupable de quelques vols aggravés dans le passé. L’individu était passé par la plate-forme de canulars téléphoniques Violvocal (créée par le hacker Ulcan) pour appeler les forces d’intervention tout en modifiant les coordonnées de la source de l’appel. Le mauvais blagueur a été condamné à 2 ans de prison ferme, ce qui est une première en France pour ce type d’affaire. Les deux autres complices , âgés de 19 et 25 ans ont récolté, l’un 18 mois de prison ferme l’autre 6 mois avec sursis pour avoir respectivement diffusé le swatting sur Youtube et rameuté les internautes afin qu’ils assistent au « spectacle ».
Les petits blagueurs sont donc prévenus : Swatter n’est pas jouer.
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