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Si l’on en croit Les Echos, c’est l’heure du « Game Over » pour Michel Guillemot. Le PDG de Gameloft (et frère du patron d’Ubisoft) n’a pas pu résister à la tentative d’OPA (désormais réussie) menée par Vivendi. Depuis vendredi dernier en effet, le groupe de Vincent Bolloré détiendrait plus de la moitié des parts de Gameloft. Quelques jours auparavant, Vivendi s’était déjà dangereusement rapproché du contrôle du studio après le soutien de Amber Capital, troisième actionnaire de l’éditeur, qui s’était rangé derrière la bannière du géant français des médias. A ce moment précis, Vivendi et Amber Capital détenaient déjà 45% des parts de Gameloft.
La stratégie de Vivendi vis à vis de Gameloft semble claire : il s’agit de profiter de la masse des joueurs Gameloft (21 millions de joueurs actifs/jour) et de leur temps moyen de jeu (39 minutes/jour) pour pousser la régie publicitaire de Gameloft, ultra-ciblée, afin de faire la promo de la myriade de services et d’offres médias de Vivendi (Canal + entre autres…).
Vivendi ne devrait pas s’arrêter là, car si Gameloft est reconnu dans le secteur mobile, les grosses licences se trouvent encore et toujours chez Ubisoft (Assassin’s Creeds, Rayman, Les Lapins Crétins). pour les spécialistes, une offre hostile d’achat (OPA) Contre Ubisoft n’est qu’une question de temps étant donné que les frères Guillemots ne disposeraient pas des moyens financiers pour racheter la majorité des titres d’Ubisoft et ainsi protéger l’entreprise d’un éventuel rachat.
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