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Ici à KultureGeek, il est bien rare (trop rare sans doute) que l’on traite de l’actualité des synthés et autres appareils musicaux blindés d’électroniques. Mais parfois, il n’est pas vraiment possible de faire l’impasse. Le MPC Key 37 d’Akai est un vrai rêve pour tout compositeur (pro ou en herbe) désireux de disposer d’une workstation réellement autonome, sans passage obligé sur l’ordinateur ou un DAW. Le successeur du Key 61 dispose en fait de tout le nécessaire pour créer sa musique « from scratch ». 37 touches avec aftertouch (sensible au niveau de pression), 16 pads « percus » là encore sensibles à la pression, un écran 7 pouces pour gérer le multipiste, quatre boutons Q-Link pour les plugins d’effets, le logiciel MPC2 d’Akai et sa suite autonome (remplie de plugins et d’instruments), il ne manque rien.
A l’intérieur du petit monstre, on trouve 2 Go de RAM, ce qui est un petit peu dommage puisque le Key 61 embarque 4 Go de RAM. Quand on sait à quel point la capacité de RAM est importante pour le multipiste. Côté entrées/sorties, c’est la toile, avec des entrées et sorties stéréo 1/4 de pouce, USB Midi, MIDI In/MIDI Out 5 broches, 4 ports de sortie TRS CV/Gate et un port hôte USB. Et bien entendu, la connexion Bluetooth et WiFi est de la partie. Le plus beau dans tout cela ? Cette merveille de workstation est facturée à seulement 900 euros. On peut même déjà se la procurer chez Woodbrass.
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