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X (Anciennement Twitter) s’illustre encore une fois en exemple de la liberté d’expression et du respect des travailleurs. En octobre dernier, Elon Musk avait racheté l’entreprise. Il menaçait peu après tous les employés qui ne reviendraient pas travailler en présentiel 7 jours sur 7, les poussant à démissionner. Yao Yue, employée de la firme à l’époque, avait encouragé d’autres collaborateurs à ne pas partir. Mieux valait attendre que l’entreprise les licencie. Ainsi, quelques jours plus tard, elle était elle-même remerciée pour ne pas avoir respecté une politique de l’entreprise non déterminée.

La National Labor Relation Board, organisme de protection des travailleurs aux USA, accuse directement X de ne pas permettre aux employés de la firme d’exercer leurs droits. Yue affirme également avoir été licenciée « pour sa tentative de fournir à ses collègues une meilleure position légale ». Ses conseils ont été mal pris, c’est peu de le dire. En juillet dernier, certains ex-employés avaient tenté une action en justice. X n’aurait pas versé la totalité des indemnités de licenciement promises. De plus, l’entreprise n’aurait pas respecté les 60 jours de pré-avis pour ce genre de licenciement de masse.
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