TENDANCES
Comparateur
- AUTO
C’était dans l’air depuis quelques semaines : après Huawei, ZTE et les tentatives d’interdiction de WeChat et Tiktok, Donald Trump jetterait son dévolu (et sa colère) sur SMIC (Semiconductor Manufacturing International Corporation), soit le plus gros fondeur chinois. Si l’on s’en tient au communiqué publié par le Département américain du commerce, les justifications de cet embargo imminent seraient toujours à chercher du côté des risques pour la sécurité nationale américaine.

Selon toute logique donc, SMIC sera bientôt placé sur la fameuse liste noire des sociétés chinoises ne pouvant plus commercer avec des entreprises américaines, à moins de disposer d’une licence (autorisation)… délivrée par le Département du commerce lui-même. L’embargo visant Huawei avait déjà fait perdre à SMIC son plus gros client, mais une entrée sur la liste noire priverait cette fois le fondeur des commandes de l’américain Qualcomm, ce dernier étant actuellement le principal client de SMIC suite au retrait de Huawei.
De nouveau dans le viseur de l’administration américaine, SMIC s’est défendu de tout lien avec le gouvernement ou l’armée chinoise tout en rappelant que sa production de processeur était entièrement destinée à des appareils « civils » grand public.
Voilà qui ne va sans doute pas freiner les velléités de hausses tarifaire sur le marché de l’électronique. Micron...
Plus de dix ans après la disparition du vol MH370 de Malaysia Airlines, l’un des plus grands mystères de l’aviation moderne...
Tesla ouvre un nouveau chapitre de sa stratégie électrique en Europe avec la Model 3 Standard, une version d’entrée de gamme...
Vendredi 5 décembre 2025, une nouvelle panne majeure chez Cloudflare perturbe une partie importante d’Internet. De nombreux internautes...
Après les américains peuvent encore abuser de leurs positions pour imposer leur souhaits. D’autres pays ne se gêneraient pas plus!
Après ne venait pas pleurer quand vous aurez perdu votre boulot à cause d’une delocalisation
Ou une concurrence imbattables.
Protégeons nos entreprises et notre savoir-faire
Taxer les produits importės et allégé les produits made in France.