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Clearview AI aura décidément bien du mal à s’extirper des polémiques dans lesquelles l’entreprise s’est embourbée. C’est aujourd’hui l’Australie et le Royaume-Uni qui viennent de déclarer qu’une enquête en collaboration avait été lancée, principalement en ce qui concerne les données soi-disant « inutilisées » de la firme, et les biométriques. Ce n’est pas la première fois qu’un pays cherche à enquêter sur l’entreprise qui a lancé son programme de reconnaissance faciale, surtout depuis qu’une brèche dans son système avait exposé la liste intégrale de ses clients, mais une telle coopération reste un bien mauvais signe pour elle.
Ainsi, c’est l’Office of the Australian Information Commissioner et l’Information Commissioner’s Office britannique qui vont mener cette enquête, dans la discrétion jusqu’à ce qu’elle soit conclue. D’autant plus que les deux organismes ne sont pas hostiles à l’idée de s’allier à d’autres qui auraient également manifesté leur inquiétude vis-à-vis de Clearview, dont la gestion des données n’a clairement pas de quoi inspirer la confiance. Il faut admettre que la reconnaissance faciale et les technologies associées sont encore bien mal vues : IBM a arrêté le développement suite à des inquiétudes par rapport aux droits de l’Homme, tandis que Microsoft a déclaré ne pas vouloir vendre le moindre logiciel du genre à la police tant que les règles et lois ne suivront pas. Même Amazon a placé un moratoire sur l’utilisation de sa technologie par les forces de l’ordre.
SOURCEengadget
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