TENDANCES
Comparateur
- AUTO
L’intelligence artificielle n’en est qu’à ses débuts dans le milieu de la prévention et de la protection. Et pourtant, certaines avancées semblent sortir tout droit d’un univers de science-fiction. En l’occurrence, c’est Intel qui se distingue grâce à son processeur Loihi : en collaboration avec la célèbre université Cornell, une sorte de « nez électronique » a été mis au point, et il serait capable de détecter les 10 substances pour lesquelles il a été testé, des produits nocifs comme par exemple l’acétone ou l’ammoniac. Mais comment sont-ils arrivés à ce résultat?

De façon habituelle pour une IA, mais avec un hardware extrêmement poussé : chaque odeur a pu être acquise et « mémorisée » avec un seul échantillon, sans que ses « souvenirs » des précédentes n’aient été supprimés ou altérés, ce qui a été permis par les calculs de la puce neuromorphique d’Intel. Les systèmes précédents au protocole ressemblant à celui-ci ont effectué près de 3000 opérations sur échantillons supplémentaires, le tout pour en arriver aux mêmes résultats. A terme, ces nez électroniques devraient non seulement permettre de repérer les produits dangereux dans l’environnement, mais aussi être utilisés pour la détection d’explosifs, ou encore de maladies particulières.
SOURCEnature.com
Spotify a dévoilé Recaps, une nouvelle fonctionnalité qui s’attaque à un problème bien connu des amateurs de...
Nous sommes en novembre : place au Black Friday ! Les licences logicielles très demandées—dont MS Office et des clés...
Disney+ ne se contentera bientôt plus d’être un simple catalogue de films et de séries. Lors d’un appel suivant les...
Dans une offensive contre le streaming sportif illégal, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et...
Des ingénieurs de l’Université de Californie à Davis ont dévoilé un moteur expérimental d’un genre...
13 Nov. 2025 • 20:21