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L’intelligence artificielle n’en est qu’à ses débuts dans le milieu de la prévention et de la protection. Et pourtant, certaines avancées semblent sortir tout droit d’un univers de science-fiction. En l’occurrence, c’est Intel qui se distingue grâce à son processeur Loihi : en collaboration avec la célèbre université Cornell, une sorte de « nez électronique » a été mis au point, et il serait capable de détecter les 10 substances pour lesquelles il a été testé, des produits nocifs comme par exemple l’acétone ou l’ammoniac. Mais comment sont-ils arrivés à ce résultat?

De façon habituelle pour une IA, mais avec un hardware extrêmement poussé : chaque odeur a pu être acquise et « mémorisée » avec un seul échantillon, sans que ses « souvenirs » des précédentes n’aient été supprimés ou altérés, ce qui a été permis par les calculs de la puce neuromorphique d’Intel. Les systèmes précédents au protocole ressemblant à celui-ci ont effectué près de 3000 opérations sur échantillons supplémentaires, le tout pour en arriver aux mêmes résultats. A terme, ces nez électroniques devraient non seulement permettre de repérer les produits dangereux dans l’environnement, mais aussi être utilisés pour la détection d’explosifs, ou encore de maladies particulières.
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