Comparateur
- AUTO
Facebook a droit de vie ou de mort sur les centaines de millions de contenus (milliards même) publiés par les utilisateurs. Parfois (souvent), ces derniers se demandent pourquoi telle ou telle photo diffusée sur Facebook ou Instagram a rejoint le néant numérique sans autre forme de procès. Désormais, il existera un recours ultime, que l’utilisateur Facebook/Insta ne pourra effectuer qu’après toutes les autres démarches « traditionnelles » (demande d’explications par email notamment) : en effet, un conseil de surveillance, surnommé déjà la « Cour Suprême de Facebook », sera bientôt chargé de décider du sort de ces contenus « problématiques » ou controversés.
L’utilisateur n’aura que 2 semaines (à partir de la date de retrait du contenu) pour se manifester auprès de cette instance, qui elle-même se donnera 90 jours – et pas un de plus – pour apporter une décision finale (la re-publication du contenu… ou les limbes). Ce conseil de surveillance sera supervisé par Thomas Hughes, un activiste britannique très impliqué dans la défense des droits humains sur la toile. Jusqu’à 40 personnalités pourront siéger à la « Cour Suprême », mais l’on espère surtout que cette nouvelle entité sera suffisamment indépendante de Facebook et de sa direction.
Quelques mois après avoir acheté (très cher) une parcelle de terrain virtuel dans le métavers The Sandbox, Carrefour passe...
La saison 3 de Love, Death + Robots sera diffusée dès demain sur la plateforme Netflix. La série proposera de nouveaux plusieurs...
Ce n’était plus arrivé depuis plus de 50 ans : le Congrès américain a tenu hier une audition publique sur les OVNI avec...
YouTube annonce du nouveau concernant son lecteur en affichant les parties les plus rejouées/populaires d’une vidéo. Ainsi, il est...
De plus en plus de personnes ayant un compte Netflix de longue date se désabonnent de la plateforme, selon une étude du cabinet de recherche...
2 commentaires pour cet article :