TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Alors qu’il est de plus en plus difficile de trouver de bons programmes parmi la pelletée hebdomadaire de nouveautés Netflix, films et séries confondus, quelques irréductibles continuent de nous faire rêver, avec des thèmes pas forcément évidents à traiter, comme l’exploration et la découverte sexuelle durant la pré-adolescence, puis l’adolescence. Et pourtant, Big Mouth a réussi à traiter ces problématiques sous un prisme absurde, comique à souhait, sans pour autant les tourner en dérision ou minimiser leur impact sur le développement des personnages. Les deux premières saisons avaient permis de découvrir cet univers déjanté et haut en couleurs, loin d’être parfaites mais porteuses d’une fraîcheur qui faisait plaisir à voir. Qu’en est il donc de la saison 3, tout juste sortie?
On retrouve tous les personnages dans l’état piteux où la dernière saison les avait laissés, et chacun aura droit à son arc narratif, et encore une fois à son évolution personnelle. Leur découverte de la puberté est toujours dans les sujets importants, mais n’est plus la seule idée traitée, puisqu’on retrouve également des thèmes importants comme la santé mentale, la dépression, l’immense pression ressentie concernant l’attente de résultats à l’école, et bien entendu la relation dynamique entre Andrew et Nick. Connie et Maurice sont toujours le pilier du show, toujours aussi bien écrits, individuellement comme en duo, il est difficile de s’en lasser. Quelques nouvelles têtes font leur apparition, et certains personnages secondaires ont leur heure de gloire, avec une narration sur mesure, chacun d’entre eux étant au centre de sa propre histoire. En bref, on se régale du début à la fin, et malgré certains thèmes comme le féminisme traités avec maladresse, voire lourdeur par moments, le final apporte une conclusion appropriée, tout en préparant avec brio les enjeux des saisons à venir. Big Mouth, saison 3, c’est un grand oui.
Le secteur du numérique a connu un ralentissement en 2024 de sa croissance en France, d’après les résultats annuels...
En construction dans le désert d’Atacama au Chili, l’Extremely Large Telescope (ELT) s’annonce comme une prouesse technologique...
Qui aurait cru qu’après la réception très froide d’Overwatch 2, un jeu de shoot compétitif-GAAS, épuisant...
Succès improbable en salles (ou pas), Sonic retourne sur les écrans pour un troisième opus, et plutôt qu’un classique...
L’histoire se répète pour LDLC qui annonce avoir fait l’objet d’un deuxième piratage en 2024, avec là encore...
11 Dec. 2024 • 15:15
11 Dec. 2024 • 14:48
11 Dec. 2024 • 12:45