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La Russie a Google dans son viseur. Roskomnadzor, l’agence fédérale russe chargée de la supervision des communications et des médias, a fait savoir que Google risque une amende de 700 000 roubles (9 200 euros) pour ne pas avoir retiré des sites bannis lorsque certaines recherches sont effectuées.
La loi russe exige que les moteurs de recherche (comme Google) retirent les sites bannis des résultats de recherche à partir du début de décembre. Bien que certains sites aient commencé à disparaître de Google et des recherches de son principal rival national Yandex, avant l’entrée en vigueur de l’interdiction, d’autres restent encore disponibles. Et ce point dérange tout particulièrement Roskomnadzor.
Le montant de l’amende est en tout plus que léger pour un groupe comme Google qui génère des milliards de dollars de bénéfices chaque année. Mais selon Reuters, la Russie compte revoir à la hausse le montant des amendes destinées aux entreprises technologiques qui ne respectent pas les lois russes. Les futures amendes pourraient correspondre à 1% du chiffre d’affaires réalisé en Russie par les sociétés.
Pour rappel, la Russie a déjà tapé sur les doigts des entreprises technologiques dans le passé. Le pays a notamment bloqué l’accès au réseau social LinkedIn et à la messagerie Telegram. Les Russes qui veulent toujours en profiter sont invités à utiliser des VPN et avoir une adresse IP basée dans un autre pays.
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