TENDANCES
Comparateur
- AUTO
Il est nécessaire d’avoir des règles bien précises autour de la reconnaissance faciale, et c’est Brad Smith qui le dit. Le président et directeur des affaires juridiques de Microsoft a fait savoir que ce type de régulation concerne tout le monde, que ce soit le public ou le monde de l’entreprise.
Brad Smith invite le gouvernement américain à se pencher sur ce sujet, en raison du risque que les technologies de reconnaissance faciale font planer sur le droit à la vie privée et les libertés individuelles. « Imaginez un gouvernement suivant à la trace chacun de vos déplacements au cours du dernier mois, sans votre permission ou sans que vous ne le sachiez. Imaginez une base de données de toutes les personnes ayant assisté à un rassemblement politique », écrit Brad Smith.
Selon le président de Microsoft, les univers de films comme Minority Report ou Ennemi d’État, ou celui dépeint dans le célèbre roman 1984 de George Orwell sont « sur le point de devenir possibles ». Il ajoute que « ces questions accroissent la responsabilité des entreprises technologiques qui créent ces produits. Elles appellent également selon nous à une régulation gouvernementale réfléchie et à la mise en place de normes définissant un usage acceptable de la reconnaissance faciale ».
Chez Microsoft, la reconnaissance faciale est surtout utilisée avec Windows Hello. Ce système permet d’accéder à sa session sur son ordinateur sans entrer le mot de passe : il suffit de placer son visage devant la caméra pour qu’il soit reconnu.
Il y a quelques semaines, la gamme de smartphones Pixel 9 a introduit la détection en temps réel des SCAMs, une fonctionnalité...
C’était notre poisson d’avril 2025, et finalement nous n’étions pas tombé si loin que ça de la...
C’est la fin des mises à jour logicielles pour les Galaxy S20, Samsung a décidé de ne plus supporter ses smartphones qui ont vu...
Gautoz, ex-plume de GameKult et l’un des animateurs de l’excellente chaine gaming Origami, a confirmé sur le réseau social...
DeepMind, le département d’IA de Google, paierait à ne rien faire certains de ses employés basés au Royaume-Uni, et ce...