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Ce 1er décembre est un jour « important » pour les Canadiens puisque les téléphones mobiles (que ce soit un smartphone ou un téléphone « basique ») vendus dans le pays d’Amérique du Nord n’ont plus le droit d’être verrouillés chez un opérateur. En effet, tous les mobiles doivent obligatoirement être débloqués.

Cette nouvelle politique concerne aussi bien les téléphones achetés à partir d’aujourd’hui que les téléphones déjà vendus. Les clients qui ont un mobile bloqué peuvent faire une demande auprès de leur opérateur pour débloquer gratuitement leur terminal, selon ce qu’a ordonné le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC). Cette prestation était facturée plusieurs dizaines de dollars auparavant.
Le marché pour déverrouiller son mobile est de taille au Canada puisque les Canadiens ont dépensé plus de 37 millions de dollars en 2016, ce qui a représenté 943 363 appareils selon le CRTC.
Ce changement est donc une bonne nouvelle pour les Canadiens, mais elle l’est un peu moins pour les opérateurs locaux. En effet, ces derniers doivent maintenant vendre des mobiles qui sont compatibles avec tous les opérateurs, dont leurs concurrents. Un client peut donc aller voir ailleurs tout en gardant son mobile. De plus, les 37 millions de dollars vont leur passer sous le nez, certains ont peur que les opérateurs se mettent à augmenter le tarif de leurs forfaits pour compenser.
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On a aussi des différences de température qui peuvent monter à plus de 40 l’été et -20 l’hiver (dans les alpes par exemple)
L’investissement s’est fait sur des décennies, il ont eu le temps de l’amortir. De plus il y a beaucoup d’espace mais aussi beaucoup d’espace vide. La population est concentrée, donc l’investissement est moins gros qu’ils laissent supposer.