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En 1881, le physicien français Jacques Arsene d’Arsonval avait découvert que la différence de température entre les fonds froids de l’océan et sa surface chaude grâce au soleil pouvait servir à générer de l’électricité. Aujourd’hui, une start-up du Royaume-Uni prévoit de revoir cette technologie et de l’adapter. Un projet ambitieux s’il en est, puisque l’entreprise la présente en source d’énergie virtuellement infinie et renouvelable. On parle de générer 2000GW au niveau mondial, de quoi alimenter constamment toutes les îles de la planète.
La principale difficulté dans cette technologie réside dans son besoin constant de grandes quantités d’eau froide, qu’il faut aller chercher à environ un kilomètre de profondeur. Ainsi, il faut un système de tuyauterie gigantesque et particulièrement résistant, soit une technologie très onéreuse. C’est pourquoi Global OTEC compte miser sur une barge (baptisée Dominique) flottant sur les océans plutôt que sur une installation en dur où les tuyaux doivent être fixés au fond de l’océan. Les coûts passent ainsi de plusieurs dizaines de millions de dollars à environ 3 millions. Si les calculs sont bons et que le système fonctionne, l’entreprise pourrait enregistrer des profits records, tout en fournissant une énergie propre et performante à toutes les îles tropicales. Ces dernières dépendent en effet énormément des énergies fossiles d’import.
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