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Passé du fantasme de geek adepte de science-fiction à une réalité tangible, la voiture autonome est devenue en quelques années l’un des marronniers préféré du secteur automobile. Du premier prototype de Google Car à l’Autopilot de Tesla en passant par les rumeurs électrisantes d’Apple Car (c’est le cas de le dire), la voiture sans pilote s’annonce comme une révolution au moins aussi importante que ne l’a été l’iPhone pour le secteur smartphone. Pour ceux qui craindraient d’avoir raté le train en marche, ou qui souhaiteraient en savoir un peu plus, voici donc les 5 poins clefs (via vendezvotrevoiture.fr) à connaître lorsque l’on parle de voiture autonome.
On a un peu l’impression de revivre avec la voiture autonome ce qui s’est déjà produit pour le marché du smartphone : les géants du secteur informatique (Apple et Google) investissent un marché à priori éloigné de leur coeur de métier. En effet, si la première voiture autonome « historique » date de 1977 – une Mercedes-Benz modifiée par un laboratoire de robotique de Tsukuba, c’est bien la Google Car qui a rendu le concept visible et compréhensible pour un très large public. De nombreux indices laissent aussi à penser qu’Apple a très lourdement investi afin de présenter un modèle d’Apple Car en 2020. Tesla, un pionnier de la voiture électrique qui « pense » comme une startup de la Silicon Valley, a présenté récemment le premier système auto-pilote que l’on peut télécharger pour son modèle de véhicule; Les marques traditionnels ne sont pas en reste : Audi, Renault, Toyota ou bien encore Mercedes se sont lancés dans l’aventure, et deux constructeurs importants, Nissan et Volvo, ont même annoncé qu’ils dévoileraient leurs véhicules autonomes en 2020.
Les premières recherches de Google sur la voiture autonome datent de Google Maps; c’est dire si le géant de l’internet réfléchit depuis longtemps à ce que devrait être une voiture autonome. Le fruit de ces années de travaux secrets dans les arcanes du Google Lab, c’est le Google Car, une petit voiture autonome déjà en test grandeur nature sur les routes californiennes et qui va bientôt bénéficier de l’intelligent artificielle x-view. L’objectif est de rendre la conduite automatisée plus sûre, de mieux interpréter le comportement des autres conducteurs tout en garantissant que ces derniers ne soient pas troublés par le style de conduite bien spécifique d’une Google Car (ou de tout autre voiture autonome).
C’est en effet à cette date que prendra effet l’amendement du protocole de Vienne, qui autorisera enfin ces véhicules à circuler dans l’espace public ! Les véhicules semi-autonomes (comme les dernières Tesla équipées du système Auto-Pilot) peuvent toutefois déjà emprunter les voies de circulation, bénéficiant d’un certain flou juridique dès lors qu’un conducteur se trouve derrière le volant. Le calendrier des différents projets en cours laisse toutefois comprendre que le véritable démarrage de la voiture autonome se fera plutôt vers 2020.
Pas définition, un véhicule autonome n’est jamais fatigué, n’a pas de problèmes d’attention et sait parfaitement maitriser les petits nerfs de sa puce de silicium. Mais un autre danger que l’alcool au volant ou l’inattention due à la fatigue pointe déjà au tournant : le piratage informatique. La voiture autonome est en effet un ordinateur sur roues avant toute chose, et comme tout ordinateur connecté à l’extérieur via un réseau Wi-Fi, celui-ci sera particulièrement sensible aux attaques informatiques. Même les entreprises qui vient en partie de la collecte de données (à l’instar de Google) devront sans doute privilégier cette fois la sécurité des données, même si cela signifie de ne plus récupérer à la volée de nombreuses informations sur l’utilisateur. Car un bug ou un acte de piratage malveillant à plus de 100 km/h sur l’autoroute pourrait très vite avoir des conséquences dramatiques.
Si la voiture autonome est encore une révolution à venir, l’impression 3D est déjà une révolution en cours. La Blade est un véhicule électrique qui peut atteindre les 100 km/h en 2,5 secondes grâce à ses 700 chevaux, mais sa particularité principale est d’avoir été fabriquée grâce à l’impression 3D. Les matériaux utilisé pour ce châssis hors norme ont fait chuter le poids de l’engin, qui ne dépasse pas les 635 dollars. La Blade n’est certes pas encore autonome, mais il ne fait guère de doute que les progrès permis par son mode de fabrication bien particulier ne soient pas exploités par d’autres constructeurs plus connus du grand public.
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