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Malgré le chiffrement et l’anonymat relatif de certains réseaux sociaux, les campagnes de Swat ne sont pas sans dangers pour leurs instigateurs. Le FBI vient d’arrêter un certain John Cameron Denton, fondateur et leader du groupe néo-Nazi ultraviolent Atomwaffen Division. Les autorités américaines accusent le cyber-activiste d’avoir mené une campagne de swatting à l’encontre d’une université, d’une église, et d’autres « cibles » encore.

Rappelons ici que le swatting est un canular sinistre qui consiste à faire intervenir les SWAT, les unités de la police d’intervention aux Etats-Unis, chez quelqu’un qui n’a rien commis de mal. Très souvent, l’opération de Swatting prend pour cible une personne qui joue ou chat en streaming live, ce qui permet d’ « immortaliser » en vidéo l’intervention des forces de l’ordre. Dans certains cas, heureusement très rares, le swatting a même abouti à la mort par balles de la personne interpellée par erreur.
Deux membres du groupe néo-nazi ont déjà été arrêtés dans cette sombre affaire, tandis qu’un troisième membre coopère activement depuis plusieurs mois avec la police (ce dernier bénéficie d’une certaine immunité, à commencer par la garantie de l’anonymat). Deux autres leaders du groupe seraient des citoyens américains vivant hors des Etats-Unis. D’après les premiers éléments de l’enquête, Denton aurait agi par « frustration », afin de protester contre le traitement médiatique des groupes néo-nazis. John Cameron Denton risque jusqu’à 5 ans de prison.
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