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Spotify a mis en place de nouvelles règles autour de la bonne conduite des artistes. Le service de streaming musical dit ne pas vouloir mettre en avant les contenus et comportements haineux, d’où des sanctions qui peuvent être prises.
Le premier touché est R. Kelly. Spotify a retiré l’artiste américain de ses différentes playlists suite à un appel du mouvement Time’s Up qui demandait à « couper les ponts » avec le chanteur accusé d’abus sexuels depuis plusieurs années. Il s’agit du premier exemple de l’application de la nouvelle charte de Spotify. Le groupe précise qu’il peut aller plus loin s’il le faut et complètement retirer la discographie d’un artiste selon les cas. Pour l’instant, R. Kelly est toujours disponible sur Spotify, il est seulement absent des playlists.
« Lorsqu’un artiste ou un créateur fait quelque chose de particulièrement nocif ou haineux (par exemple, de la violence envers les enfants ou de la violence sexuelle), cela peut changer la façon dont nous travaillons avec lui ou dont nous le soutenons », écrit Spotify. La plateforme se défend pourtant de « censurer du contenu en raison de la conduite d’un artiste ou d’un créateur. Mais nous voulons que nos décisions éditoriales — ce que nous choisissons de programmer — reflètent nos valeurs », ajoute-t-elle.
Outre les accusations sexuelles, R. Kelly a été inculpé pour pornographie sur mineurs en 2002. Il a toutefois été acquitté en 2008.
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