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130 milliards de dollars (soit 98 milliards d’euros), c’est le prix que va payer l’opérateur américain Verizon pour racheter au britannique Vodafone sa part de 45% dans leur filiale commune de téléphone mobile, Verizon Wireless. Il s’agit de la trosième plus importante transaction de tous les temps derrière le rachat par Vodafone de l’Allemand Mannesmann pour 172 milliards de dollars en 1999 et celle de 181 milliards de Time Warner sur AOL l’année suivante.

Selon les modalités de l’accord, qui devrait être finalisé au premier trimestre 2014, Vodafone recevra 58,9 milliards de dollars en cash, 60,2 milliards de dollars en actions Verizon et 11 milliards de dollars résultants de transactions diverses. Ce deal n’est pas une surprise en soi. Verizon s’est manifesté depuis quelque temps pour racheter les parts de Vodafone. Ce dernier aurait finalement accepté, étant donné la bonne valorisation.
«Je pense qu’il n’y a pas de meilleur moyen de déployer notre capital que d’investir dans un actif qui génère plus de 80 milliards de dollars de chiffre d’affaires (annuel), une marge de 50% sur ses services et des flux de trésorerie significatifs», a indiqué le PDG de Verizon, Lowell McAdam, lors d’une conférence d’analystes.
Il assure également que la transaction « permettra à Verizon de mener ses opérations plus efficacement ». Son homologue britannique, Vittorio Colao, estime que le partenariat a été couronné de succès et souhaite à Verizon de continuer sur cette lancée.
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