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L’État dispose d’une part dans Orange, elle est de 23%. Il s’agit d’ailleurs du premier actionnaire de l’opérateur, mais va-t-il s’en séparer ? La réponse est non, pour l’instant du moins.
« Pour la question de l‘actionnariat futur du groupe, tout dépendra du calendrier et des modalités d‘une éventuelle sortie de l’État, que je ne souhaite pas particulièrement », a indiqué Stéphane Richard, le PDG d’Orange, auprès de Reuters. « Je ne crois pas qu‘elle soit vraiment à l‘ordre du jour aujourd’hui », a-t-il ajouté.
Pour rappel, le gouvernement a annoncé cet été son envie de céder pour 10 milliards d‘euros d‘actifs détenus dans des entreprises françaises afin de financer un fonds dédié à l‘innovation. Les cessions ont déjà commencé chez Renault et Engie (fournisseur de gaz et d’électricité).
« Je n‘imagine pas que l’État pourrait sortir d‘un seul coup et brutalement du capital de l‘entreprise », estime Stéphane Richard. « On peut parfaitement gérer aujourd‘hui un désengagement progressif de l’État, sans que la question d‘un actionnaire de substitution ne se pose ». Ce n’est pas la première fois que cette déclaration en particulier est faite par le PDG d’Orange, soulignant que l’opérateur historique pourrait très bien s’en sortir tout seul aujourd’hui si c’était nécessaire. À voir maintenant si une cession de la part est dans les tuyaux ou non en ce qui concerne Orange.
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