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Les fausses informations, dites « Fake news », ont été un sujet clé pendant les élections présidentielles américaines, à tel point que certains experts pensent que Donald Trump a été aidé par ces fake news pour l’emporter fasse à Hillary Clinton. Aux États-Unis et en Allemagne, Facebook a déjà mis en place un système pour vérifier les informations partagées sur son réseau social. Place à la France désormais.

Pour analyser les publications signalées par sa communauté, Facebook s’appuiera sur des organisations tierces, disposant d’une expertise dans la vérification d’informations. En France, Facebook s’appuiera sur les organisations suivantes : AFP, BFMTV, L’Express, France Médias Monde, France Télévisions, Libération, Le Monde et 20 Minutes. Ces organisations pourront accéder à l’outil de fact-checking et auront ainsi la possibilité de vérifier des informations signalées par les utilisateurs de Facebook. Lorsqu’une publication sera qualifiée de fausse information par deux des organisations de fact-checking, elle sera identifiée comme étant contestée chez l’utilisateur. Cette publication affichera alors un pictogramme et mentionnera que l’information est contestée.
Chez Google, on proposera un outil nommé CrossCheck, en partenariat avec First Draft. Google dit travailler avec 17 médias pour vérifier les informations : AFP, BuzzFeed News, France Médias Monde (via les Observateurs de France 24), France Télévisions, Global Voices, Libération, La Provence, Les Échos, La Voix du Nord, Le Monde (Les Décodeurs), Nice-Matin, Ouest-France, Rue89 Bordeaux, Rue89Lyon, Rue89 Strasbourg, Storyful et StreetPress. Google note que ce sera important sachant que la France va aussi connaitre des élections présidentielles.
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