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No Man’s Sky n’en finit pas de créer le Buzz. Le jeu d’exploration spatiale conçu comme un bac à sable gigantesque a eu droit aux honneurs de la Gamescom, et les dernières informations ont réellement de quoi donner le tournis. Interrogé par des journalistes d’IGN, Sean Murray de Hello Games (le studio à l’origine de No Man’s Sky) s’est confié sur les évolutions du moteur du jeu, qui sera vraiment très, très, très imposant, et doté d’une durée de vie à peu près illimitée.
Et il y en aura des milliards comme ça…
Ainsi, on apprend que le premier moteur 32 bits génératif des planètes rencontrées dans le jeu était capable d’afficher un tel nombre d’astres qu’il aurait fallu à un joueur normalement constitué environ 5000 ans pour faire le tour complet du jeu en visitant chacune des planètes (et ce pendant seulement une seconde à chaque visite). Mais voilà, il est dit que ce titre hors norme se veut être réellement un simulateur d’univers puisque la dernière mouture du jeu est passée sur un moteur de génération procédurale en 64 bits.
Et que donne un moteur procédural en 64 bits ? Tout bonnement le fait que pour visiter chacune des planètes pendant seulement une seule toute petite seconde, il faudra cette fois 5 milliards d’années, soit plus que le temps restant à « vivre » à notre propre soleil. Grand, c’est grand, mais plus grand que grand, c’est No Man’s Sky…
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