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Faut-il faire le nécessaire pour analyser et décider de garder ou non les deepfakes, ces vidéos truquées où l’on voit notamment des célébrités et politiques dire des phrases qu’ils n’ont jamais prononcées en réalité ? Mark Zuckerberg le pense.
Le patron de Facebook a estimé lors d’un entretien diffusé sur sa page Facebook personnelle qu’il serait sensé que sa plateforme applique une politique spécifique pour les deepfakes.
« Les deepfakes en particulier sont un sujet pour lequel nous sommes en train d’évaluer ce que devrait être la politique » de Facebook, a déclaré Mark Zuckerberg, lui-même récemment victime d’une vidéo de ce type publiée sur Instagram. « Il serait vraisemblablement sensé d’avoir une politique différente et de traiter cela différemment de la façon dont nous traitons la désinformation classique », a-t-il dit, rappelant que Facebook ne souhaitait pas se faire l’arbitre de la vérité.
Les deepfakes ont d’abord été utilisées en masse pour mettre le visage d’actrices de films hollywoodiens sur celui d’actrices de films pornographiques. On a ainsi l’impression de voir une sex-tape d’une actrice, alors que ce n’est pas vrai. Avec le temps, les vidéos deepfakes se sont étendues avec les hommes et femmes politiques.
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